La protagoniste était heuresement mariée avec un homme d'affaires, raisonablement honnête et couronné de succès. Ils avaient un fils, une maison confortable, des voitures puissantes, une position économique remarquable... En résumé, ils personifiaient le sommet du rêve américain de bonheur. Dans ce quadre, la protagoniste occupait ses journées à faire des achats, à rejoindre les amies, à se soigner chez le coiffeur, l'esthéticienne, le professeur de yoga et si elle avait le temps et qu'elle avait l'envie , elle faisait des bénévolats dans les bibliothèques publiques.
À l'occasion où elle aurait visité la bibliothèque d'un quartier populaire, un vent soudain s'est décerné et a tombé la dame par terre. Juste à ce moment-là, un très beau garçon, gentil, poli, culte et français, passait par là et a aidé la dame. Comme chez lui était proche, il lui a invité à monter pour la guérir d'une petite blessure au genou. Après un petit essai de rejeter la proposition, elle y a finalement accédé et la passion s'est déclenchée. Pas la première fois. Ceci serait peu croyable auprès d'una dame cultivée. Elle a été bouleversé au moment où le garçon lui aurait enlévé les collants pour la guérir. Ensuite, il lui a prêté un livre de poésie, parce qu'il, évidemment, était un marchand de livres, en s'assurant ainsi un rendez-vous. La suite, vous la pouvez facilement l'imaginer. Il y a aussi une trame de jalousie à propos du mari, mais sécondaire et oubliable.
Ce qu'on ne pourra pas oublier sera la figure de Diane Lane, le visage rougeâtre, les cheveux légèrement dérangés, l'agitation et l'embarras après un robuste câlin dans les toilettes d'un bar où elle avait rejoint ses amies. FORMIDABLE!
