dimecres, 27 de juliol del 2011

Un ignorant qui parle de l'intelligence

On va parler de l'intelligence. Quelqu’un parmi vous pourrait bien penser : « Quelle arrogance ! Un ignorant qui veut parler de l'intelligence! » C’est vrai.  J'ai voulu faire, à l’occasion de l'exposé orale, faire une petite recherche sur ce qu'on comprend quand on parle de l'intelligence. La conceptualisation de cette idée a changé depuis quelques années. Avant, l’idée de l’intelligence était liée au maîtrisage de certaines détresses et habilités telles que la pensée logique, le raisonnement mathématique et la perception dynamique de l'espace. Si on demandait faire une petite liste de persones intelligentes à votre avis, probablement on trouverait un patron commun; peut-être il y aurait des noms qui se repéteraient, tels que celui d’Einstein. Il y avait, en plus, un système pour la mesurer: le CI, le coefficient intellectuel.

Mais les observateurs constataient un phénomène paradoxale : des personnes avec un CI haut ne réussit pas à la vie. Plus encore, des personnes avec un CI inférieure obtenaient meilleurs résultats aux questions pratiques et parvenaient à occuper des postes plus élévés dans l’échelle de la même entreprise. Alors, si l’intelligence ne servait pas à réussir à la vie, à quoi servait-elle ?

C'est à ce moment-là quand des chercheurs nord-américains ont commencé à parler de différents types d'intelligence. La classification la plus reputé est celle de Howard Gardner qui a parlait des intelligences multiples. Il a identifié jusqu'à huit types différents d'intelligences. À côté des intelligences traditionnelles (l’intelligence logique-mathématique, l'intelligence linguistique-verbale) il y avait d'autres absolument nouvelles (l’intelligence intrapersonnelle, l’intelligence interpersonnelle, l’intelligence corporelle-kinestésyque et d’autres).

Mais il y a eu des voix critiques. Certains chercheurs pensent qu’on ne devrait pas mettre au même tiroir les intelligences traditionnelles avec ces autres détresses. Il faut hyérarquiser les capacités. Fonctionner d’une autre manière finirait par relativiser la pensée.

Ici on connecterait avec ce qu’un penseur italien, Giovanni Vattimo, a nommé « la pensée faible » qui disait que par opposition a une logique en fer et univoque, il fallait admettre l’interprétation; opposé à une politique monolitique et vertical des partis, on avait besoin de favoriser les mouvements sociales transversales; en face de l’arrogance de l’avantgarde artistique, la recuperation d’un art populaire et plurale; par contre à une Europe etnocentrique, une vision mondiale des cultures.

D’autre côté, un sociologue polonais, Zygmunt Bauman, a créé le concept de « la société liquide » pour parler de la société actuelle.  Si la caracteristique des liquides est la no-forme, l’adoption de celle-ci des recipients qui les contient, la sociéteé actuelle, extrémemment changeante eige des personnes qui soient capables de s’adapter à ces conditions de vie. C’est pour ça que les entrepreneurs demandent de plus en plus des personnes disposées à changer de poste, de place, de role au parcours professionnelle.

L’école essaye de donner une réponse à ces demandes de la société ou des marchés. Alors, on a fait une reforme qui poursuivit cet objectif. La LOE 2006 est vertebrée à partir de ce qu’on dit « les compétences de base », l’ensemble de connaisances fondamentales que les legislateurs pensent qui sont nécessaires pour faire face au future. Ils sont huit compétences, pas les mêmes dont H. Gardner parlait mais similaires. La compétence en la comunication linguistique, la compétence mathématique, la compétence en la connaissance et l’interaction avec l’environement, la compétence sociale et citoyenne, la compétence culturelle et artistique, le traitement de l’information et compétence digitale, apprendre à apprendre et l’autonomia et l’initiative individuelle.

Richard Sennet, Jeremy Rifkin, la société du risque seront les procains éléments à développer.