dissabte, 11 de desembre del 2010

Alicante "pour" Wikileaks

Vendredi, 10 décembre. Público. Dernière page. Colonne d'un collaborateur du journal.

Là on pourrait lire la protestation de Lula sur l'emprisonnement de Julian Assange, le créateur de Wikileaks, l'organisation qui a dévoilé milliers de papiers "secrets" de la diplomatie américaine. Depuis le moment où cette histoire a commencé, octobre 2010, la chasse à l'homme a commencé aussi. Le procureur suédois a demandé à l'Interpol la détention de ce sujet. Deux femmes -dans certains médias elles seraient des collaborateurs de Wikileaks, d'autres informations en parlent comme des journalistes- ont dénoncé des violences sexuelles. La banque suisse où l'organisation avait un compte bancaire l'a fermé; Mastercard, Visa et d'autres systèmes de paiement ont aussi suspendu leurs services. Amazon, qui hébergeait le site de l'organisation a fait comme ça. Désormais, un groupe qui soutient les actions de Wikileaks, sous le nom d'Anonymus a commencé des attaques contre ces entreprises et les participants à des protestations diverses cachaient leur identité sous  l'image du personnage V de Vendetta (un BD et film qui a eu un certain succès récemment). Assange, qui restait occulte à Londres, s'est présenté à la justice britannique qui a ordonné une arrestation sans possibilité d'obtenir la liberté sous caution.

À travers de la page www.freewikileaks.eu ont été convoquées des manifestations pour défendre la liberté d'expression et contre la persécution de cette organisation. À Alicante, ça serait samedi, le 11, à 18h, en face du consulat britannique. J’étais là. À cette heure il n'y avait que 17 personnes. Pas vrai, 21: deux polices locales, deux journalistes de Canal 9 et 17 manifestants dont 15 n'avait pas les 30 ans et 2 qui passait la cinquantaine.